Les charts Qobuz du lundi 27 janvier 2014
TÉLÉCHARGEMENTS
Rave Tapes continue d’élargir la palette de sons que Mogwai a commencé à produire il y a maintenant 19 ans. Si le groupe a débuté son escapade sonore dans des contrées sombres, saturées, parfois brutales, il explore maintenant d’autres lieux, plus ensoleillés. Les couleurs du disque sont résolument plus claires que par le passé, néanmoins Mogwai ne trahit pas son style, et garde les caractéristiques qui ont fait son succès.
C'est à son propre rêve américain que nous convie la pianiste Shani Diluka, sur les pas de Jack Kerouac,un voyage initiatique dans les abîmes de l'humanité, découvreur d'or, celui qui enrichit l'âme. Nous voilà donc partis sur la mythique "route 66" pour un parcours musical qui traverse les Etats-Unis, C'est sur les traces et sur la recherche de l'infiniment grand dans l'infiniment petit que s'est construit tout ce disque avoue l'interprète.
3 - Post Tropical (James Vincent McMorrow)
Dès son premier album Early In The Morning paru en 2010, James Vincent McMorrow a fait de son folk filtré à la soul music un breuvage réellement enivrant. Surtout, son léger falsetto, qui n’était pas sans rappeler celui de Justin Vernon de Bon Iver ou de James Blake, amplifiait la sensation d’onirisme de sa musique.
ÉCOUTES
C'est à son propre rêve américain que nous convie la pianiste Shani Diluka, sur les pas de Jack Kerouac,un voyage initiatique dans les abîmes de l'humanité, découvreur d'or, celui qui enrichit l'âme. Nous voilà donc partis sur la mythique "route 66" pour un parcours musical qui traverse les Etats-Unis, C'est sur les traces et sur la recherche de l'infiniment grand dans l'infiniment petit que s'est construit tout ce disque avoue l'interprète.
Passons vite sur cette étiquette de Jacques Brel du troisième millénaire pour ne garder que les treize titres de cetteRacine carrée évidemment tout sauf carrée. Avec ce deuxième album, l’extra-terrestre Stromae poursuit ses assemblages improbables entre hymnes dancefloor minimalistes et prose sombre, impeccable coup de zoom sur notre temps.
Guitares lovées dans une réverbération sombre, voix onirique, basses fantomatiques et mélodies souvent troublantes : le deuxième album de Warpaint – comme son prédécesseur – impose un peu plus sa filiation Cocteau Twins/Siouxsie & The Banshees/Cure. Mais cet héritage eighties n’empêche guère les Californiennes de proposer une vision bien à elles de cette esthétique new wave.
Bonne écoute !